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Amusez-vous en vous amusant ! par ins4268 le
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Rions un peu. Je propose que chacun évoque les phrases les plus rigolotes ou absurdes que l'on ait entendu dans les clubs. On se rend compte de l'absurdité de la phrase généralement juste après l'avoir dit. On en connaît tous, en voici quelques unes des joueurs du club de Créteil dans les années 90 :
- (au lieu de dire Tc4 ou Fc5, certains joueurs qui se reconnaîtront étaient très précis dans leurs analyses) : pion avance, dame va sur la case noire, fou revient, échec partout, cavalier ailleurs, promotion en quelque chose, on joue ça ou autre chose...
- les 2 camps sont en retard de développement.
- lequel d'entre vous c'est lui ?
- (après 2 minutes de silence, un joueur s'écrie): à propos...
- les 2 camps sont mal.
- il y a mat en un pour les blancs, ah non! les noirs sont mieux.
Et j'en oublie beaucoup.
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Euh, les deux camps sont mals, c'est pas possible?
En cas de zugzwang réciproque?
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En l'occurrence, ce serait plutôt un zugzwang commun, ou simultané, qu'un zugzwang réciproque, fatal pour l'un des camps. Un concept révolutionnaire...
Je dois dire pourtant, malgré un grand respect pour le Val-de-Marne, où j'ai passé beaucoup de temps, et qui nous donna Didier Sellos, Christine Leroy et tant d'autres, que la phrase "les 2 camps sont mal" est anticipée depuis... plus d'un siècle !!
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L'année dernière,dans le feu de l'action d'une analyse post-mortem, j'ai dit à mon adversaire que j'avais fait un sacrifice involontaire,sans rire!
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Ma préférée, 100% pur calvados (le département) : "la paire de fous, c'est deux fois plus fort qu'un fou"
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J'ai un pion de moins mais il est passé
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"les 2 camps sont mal" je me souviens avoir lu ce commentaire dans un bouquin "sérieux" à propos de la variante Mieses de l'écossaise (pièces pas ou mal développées, structures de pions délabrées, rois impossibles à mettre bien au chaud).
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Retour d'une pause clope, un joueur s'exclame:"Où est passé mon cavalier?!!" persuadé que son adversaire lui avait dérobé une pièce lors de sa courte absence alors qu'il l'avait perdue lors d'une série d'échanges sans s'en rendre compte.
"Euh... c'est à moi de jouer!" Son adversaire avait fait tomber une tour et l'avait reposée sur une case différente de celle où elle était placée. Le coup était donc joué mais le maladroit, croyant l'avoir déposée à sa place initiale, rejoua.
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