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j'ai oublier de préciser problème présenter par le russe A.Petrov en 1844, que j'ai trouver dans le livre les echecs féériques (J.Ratner, édition vecchi, Paris, 1976, p236). Les blancs mattent en 6 coups, et c'est un cavalier qui donne le coup de grâce
J'ai chercher la solution pendant plusieurs jours, avant de regarder la solution plus loin, et de m'aperçevoir à quel point elle est spectaculaire.
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Il suffit de savoir qu'il est de 1844 pour trouver la clé en moins d'une minute et la solution en moins de 2.
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Failli pas le voir. Pourtant à notre époque c'est des chose qu'on devrait savoir.
En plus, la première fois que quelqu'un m'a fait marcher avec ce coup-là, je me suis promis que ce serait la dernière!
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C'était du même coté ?
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Oui mais c'était un vraiment facile. Juste que j'aurais jamais imaginé une chose pareille. Je découvrais le monde de la composition à l'époque. Par contre je ne me souviens plus de qui il était.
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ca fait beaucoup, deux minutes, Oroy mais c est vrai que sans connaitre la date j y serais encore...
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J'ai arrondi par excès. Non, même sans connaître la date on est obligé de trouver une suite violente. De plus la date peut se déduire du style de la composition : trop c'est trop... Ca me rappelle une imitation du mat de Dilaram que j'ai faite avec les pièces actuelles.
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rah Je trouvais pas, mais pour une obscure raison je cherchais un mat en deux (et le coup du 1844 m'a fait poursuivre, malgré l'apparente impossibilité, en cherchant une arnaque tordue!).
Effectivement, en 6, c'est assez simple et violent - et même pas besoin d'arnaque.
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en effet... une solution assez simple mais spectaculaire !
est-ce qu'à l'époque l'èconomie n'ètait pas de rigeur?
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Non, à l'origine des problèmes, il y a des positions de parties mais aussi des positions composées que l'on 'agrémente de fioritures pour égarer le chercheur ou pour renforcer l'impression de détresse du camp qui pourtant va se sauver par un stratagème étonnant. Le début du 19ème siècle est l'époque charnière pendant laquelle ces pritiques se raréfient...
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