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| jouez vous théorique? par gt****9564 le
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Je trouve que depuis quelques années que le niveau de echecs francais est en constante évolution. Les jeunes loups recitent des lignes theoriques par coeur.c lourd :( .... Je prefere sortir rapidement des sentiers battus et eviter ainsi la theorie, et vous?
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Ben les jeunes savent aussi faire ça t'inkiet...:-)
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je trouve pas ça lourd quand on connait lesdites lignes !!
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non parce que g la flemme je potasse pas la théorie et je bosse a peine les exercices tactiques, mon seul entrainement c le blitz:), c surement pour cette raison que je reste autour des 1700 elo:)
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personnellement je ne connais que les premiers coups des ouvertures que je joue. aussi je dois assez vite sortir de l théorie je suppose . Aussi je commence à réfléchir assez rapidement ! En général , je préfére comprendre ce que je joue , que de réciter une variante par coeur ( que je ne comprend pas forcément d'ailleurs !)
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Les failles... ... dans le jeu des "jeunes" se trouvent souvent ailleurs! La récitation est généralement "mécanique" (sauf exception... et là tout est à craindre), et le fond, quant à lui, laisse miroiter de jolies perspectives... faut savoir jouer là-dessus.
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je me demande si un coup qui n'est pas un coup théorique est vraiment un bon coup. Sortir des sentiers battus comporte un risque : c'est de se retrouver dans des variantes très hasardeuses voire mauvaises.
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Je me souviens Lors de l'Open de selestat il y a deux ou trois ans, je tombe contre un jeune d'une 15ene d'années et 1800 élo environ, la veille je l'avais vu montrer à ses copains dans la salle d'analyse toutes les lignes avec tout les pièges qu'il connait sur l'Alekhine, et il etait clair qu'il en connaissait par coeur la plupart des lignes. Notre partie commence..1.e4 - Cf6 ( ben sur ) et moi je joue simplement 2.d3...il ouvre grand les yeux...la partie continu, je gagne rapidement une qualité puis la partie en moins de 30 coups... On va analyser la partie, et la bien sur il me dit pour un joueur à plus de 2000 tu ne connais rien à la théorie, c'est pas du tout ca qu'il faut jouer sur l'Alekhine...;o))
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lol
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un joueur a 1900 elo m'avait sorti de la théorie dans une française variante d'avance, j'avais les blancs et 1500 elo au compteur, au lieu de continuer à jouer j'ai cherché a réfuter absolument sa preparation, découragé j'ai abandonner sur une position qui etait à double tranchant :))
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oui en tout j'essaye si je me souviens des coups théoriques de les jouer. et en général, c'est payant: un bon milieu de partie. gagner, c'est plus compliqué!
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Il me fallut abolir le savoir....Kant ;o) l'ami Emmanuel ne pensait pas forcément aux échecs, mais il me semble évident que la théorie "récitée" ne permet pas de progresser, ou alors de manière artificielle. Dans tout club on connait un 1400 récitant des lignes que certains 2200 méconnaissent, et le summum pour moi a été de voir au sein de mon club un 2100 écouter attentivement les "cours" d'un 1300 qui lui expliquait les variantes de l'Est-Indienne alors que le mec la connaissait tout juste ! sortit des sentiers battus a un mérite : obliger l'autre à réfuter, s'il y arrive il est fort et de toute façon il m'aurait battu sur une ligne archi-théorique, sinon tant pis pour lui...
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y a qu'en même un minimum théorique à avoir rien que pour jouer un milieu de jeu correct, notamment avec les noirs. fred qui révise de temps à autre
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La théorie est inutile Jusqu'aux alentours de 1800. Après, à la limite, pourquoi pas...
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au début de notre carrière échiquéenne je pense qu'il nous est tous arrivé de réciter sans comprendre. Mais en principe si on s'entraine bien et en progressant on comprend rapidement...Moi je joue théorique mais je me suis rendu compte avec le temps que parfois en rentrant dans une variante que je ne connaissais pas, je continuai à jouer thérique mais sans le savoir, simplement en essayant de trouver des bons coups et en rentrant chez moi j'ai vu que c'était joué...En ce qui concerne les joueurs faible qui récitent les variantes, vous inquiétez pas, dès qu'ils sorte de leur bouquin qu'ils avaient appris, ils sont perdu.
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Le but d'une ouverture est d'avoir un milieu de partie jouable. Pas forcément obligatoire de connaître à fond la théorie de dizaines de variantes !
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vous confondez théorie et préparation le mot théorie en lui même n'a aucune sens. En effet, il est clair que de nombreuses lignes recensées par la théorie conduisent à de nets avantages blancs (ou noirs), voire à des positions gagnantes. Dans ces conditions, dire que l'on joue théorique, si on est du mauvais côté, n'est guère gratifiant. D'autre part, ne pas jouer "théorique" en finale est totalement stupide. Si je connais la position de Lucena et les coups menant au gain, ou la position de Philidor et les coups assurant la nulle, je ne vois vraiment pas l'intérêt de "sortir des sentiers battus..."Le problème concerne donc l'étude de la théorie des ouvertures, et à cet égard il existe un moyen nettement plus pertinent de le traiter : étudier des positions, parfois après seulement 5 ou 6 coups de récitation bien compréhensibles (je pense que tout le monde sait à peu près sa théorie sur 1...e4, et que les deux ou trois premiers coups que vous jouez ne suscitent pas déjà une méningite...), jouer en testant des idées, forger sa propre théorie et la confronter ensuite à la théorie officielle pour voir où le bât blesse. L'intérêt est particulièrement manifeste quand on se penche sur des ouvertures très tactiques comme la défense des deux cavaliers, l'attaque Max Lange ou le gambit roi : si on se limite à de la récitation pure, on obtiendra des positions parfois gagnantes sans même comprendre pourquoi elles le sont. Il est alors utile de se préparer en regardant ce qui se passe à partir de là, bref en aiguisant son flair, et en s'entraînant à sentir la position pour avoir le maximum de chances de toujours avoir plus d'idées que l'adversaire. Parfois même, on a beau chercher pourquoi on est gagnant, on ne comprend pas, parce qu'une pointe tactique nous a échappé. Et là, quel régal de consulter le bouquin pour avoir LA vérité ! Je vous garantis qu'alors on n'oublie plus jamais l'idée qu'on vient de voir, et notre compréhension de l'ouverture a grandi. Parfois c'est aussi le contraire justement qui se passe. La ligne est donnée gagnante, mais on n'arrive pas à réfuter un coup adverse, et on s'aperçoit que le bouquin non plus ! Voici d'excellents moyens d'éviter de perdre en ayant récité bêtement sans comprendre... Alors, jouer théorique ? Oui, assurément. Mais seulement en le faisant intelligemment, ce qui réclame d'y consacrer le temps adéquat. Ceux qui n'ont pas le temps de le faire ne sont pas moins honorables que les autres... mais ceux qui ont le temps de le faire non plus...
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Une chose est sûre Chaque fois que j'ai battu ou annulé des joueurs beaucoup plus fort que moi, c'est parce que j'avais fait une boulette qui avait déséquilibré la position. Je me demande même s'il ne m'est pas nécessaire de jouer des coups douteux pour gagner. Il est quand même intéressant d'avoir ses propres lignes théoriques, ses ordres de coup... D'autre part, en se construisant sa propre théorie, on progresse dans la compréhension des positions.
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J'aime bien trouver des idées marginales dans l'ouverture pour certaines parties ! Ca met du piment. Mais les grandes lignes soit aussi super interressantes ! Je pense que pour aprendre à jouer, utiliser les grandes lignes et la théorie est assez formateur ca donne de bonnes bases. Quand le style murit ca peux devenir interressant davoir plusieurs cordes a son arc !
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tout à fait fox le mot "theorique" comme on l'a déjà déjà plusieurs fois, est employé parfois complètement à contre-sens aux échecs. A tel point qu'un vendeur du Damier de l'Opéra me disait que tel livre sur la française contient plus de théorie qu'un autre pour dire en fait qu'il y a plus de variantes déjà jouées mentionnées c'est à dire ce qu'ob appelle en français plus de références à la ... pratique !
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Ben oui ! ... Utiliser le mot "théorie" aux échecs et surtout lorsqu'on parle des ouvertures est un abus de langage indéniable. Comme le fait fort à propos remarquer Kolvir (m'énerve çui-là de pratiquement toujours dire la même chose que moi ! ;o), il ne s'agit de rien d'autre que d'un catalogue des recettes éprouvées par les Maîtres, et entérinées par la pratique de ceux-ci. Une sorte de "jurisprudence" en somme.Pour ceux que ça intéresse, on avait un peu approfondi la question ici : Echecs-Musique 3. la Théorie La Comté n'était pas encore polluée par les infects serviteurs de Saroumane ! ;o)
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