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| Si c'était à refaire.... par Pa***Bo**5132 le
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Ayant appris à jouer à l'âge de 10 ans, je n'avais pas encore eu connaissance de quelques ouvrages comme "le joueur d'échecs" de Stefan Zweig ou tout simplement "le joueur" de Dostoievsky, qui m'auraient peut-être incité à me méfier du côté aliénant de tout jeu.
Vers 16-17 ans ce fut l'arrêt, le Monde extérieur méritant que l'on y attache toute son attention, vint donc la guérison.La rechute est récente, elle prouve que nul n'est à l'abri et que la guérison totale n'existe pas. Et vous, ne regrettez-vous pas quelque part d'être "tombé dedans" et de vous sentir parfois trop "pris" par un jeu décidément bien envahissant ?
Le conseillez vous à votre entourage, aux jeunes générations, sans les prévenir des affres dans lesquels vous risquez de les plonger ?
Ou alors vous récusez ce constat pessimiste, et argumentez que ce jeu n'est pas source d'esclavage, qu'il est possible de s'en évader.
Vos avis donc ? ;o)
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Mouais bon je demande pas - Bonjour, je m'appelle Paolo, j'ai 30 ans et je suis échéco-dépendant.
- Bonjour Paolo (allez, en choeur !) ;o)
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dans toute chose.... c est une question de dosage,n importe quel jeu,et aussi n importe quel vice,en gros la modération dans tout ce que l on fait...Pour ta réflexion sur le monde,pareil ,faut pas trop s `y attacher.Je finis en te disant que tu viens de me foutre ma journée en l air avec tes idées noires!!!
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Mais le dosage est-il possible ??? Personnellement je n'y crois pas...
M'enfin c'est un constat empirique qui ne demande qu'à se confronter à d'éventuels détracteurs ;o)
Et puis je vois pas que l'aspect négatif fort heureusement !
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Des tracteurs ou d'être acteur ?
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J'entame une cure de ... désyntoxication !
J'ai eu du mal à me résoudre à cette extrémité mais c'était nécessaire.
Plus que 23 parties à finir (Echecs.com + COJELI) et après grand blanc !
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S'arrêter ? Jamais. J'aime trop ce jeu pour l'instant.
Mais j'ai vécu 12 ans sans y jouer, donc je n'en mourrais pas, s'il fallait faire une cure de désintoxication... :-)
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Moi, Nirna, M, 33 ans... Un peu le même parcours...
Je découvre ce foutu jeu vers 15 ans, et là blitz entre midi et deux, pendant les heures d'études...
Le soir, bachotage de l'ECO...
Les notes plongent, la bac se passe à l'arrache... Brrr. Heureusement, j'ai réussi à décrocher, pour le sport et la vie étudiante, guère plus réels...
Plus de parties, mais toujours fidèle lecteur d'EE cependant...Et j'ai replongé, il y a 3 ans, mais (faute de temps) de façon beaucoup moins addictive. Drogue, c'est sûr, mais pas forcément spécifique au jeu d'échecs. Les jeux sur PC, les parties acharnées de tarot font le même effet; j'en ai perdu des nuits, là aussi :o) Quelques regrets de ce temps gaché, d'études négligées, parce que mine de rien, mieux vaut être con et diplômé dans ce pays, que futé et sans diplôme...
Quelques regrets aussi de ne plus avoir la facilité d'apprentissage de cette époque, où j'ingurgitais(sans rien y paner d'ailleurs) une ligne nouvelle par soir. Conseillerais-je ce jeu à mon gosse ? Hum, pas sûr... En tout cas, sous haute surveillance !
Referais-je la même chose ? Rhhhhhhhaaaaaaaa !!! Je crois... En tout cas, cela m'a fait découvrir un jeu merveilleux de beauté, de richesse physocologique et d'émotions. Et cela compense bien ces quelques regrets
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Gloups ! 24.
C'est pas gagné !
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Aie, crise de manque !!! Psychologique, of course !
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Mouais ... Mais là chuis complètement dégoûté !
Un système Colle ... Déjà que j'en avais ma claque des Slaves ...
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Le jeu Tiens d'ou vient l'origine de se mot "jeu "(y a t-il un rapport avec jouir?)
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Ah Paolo... Si jeunesse savait...
si vieillesse pouvait...
je pense que toute passion (aliénation) correspond à un besoin, passager où non, un vide à combler d'une certaine façon ( c'est bien connu, la nature a horreur du vide :-)
si je prends mon cas personnel j'ai remarqué que je suis moins assidu (dépendant) depuis que j'ai changé de boulot, celui-ci me "remplissant plus la tête" que le précedent, j'ai désormais moins d'energie à consacrer au noble jeu et surtout moins le besoin de m'occuper l'esprit...
Il est vrai que les échecs "prennent pas mal la tête", mais je pense que si ce n'était pas ça, se serait autre chose, d'ou le besoin de se poser la bonne question:
fait-on du sport parce que l'on a besoin de se depenser physiquement ? (pour certains c'est vital)
Certains ont besoin de se depenser physiquement, d'autres intellectuellement (voir les boulimiques de lectures), certains ont besoin des 2 et d'autres n'ont aucun de ces besoins...
Nous on a un jour rencontré quelqu'un qui nous a appris à jouer aux échecs :-) ...
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Je suis tombé dedans à 28 ans. J'en ai 34, et plus moyen d'en sortir.Pire, je ne desire surtout pas en sortir.Dependance : graveJe conseille ce jeu à ceux qui s'ennuyent, pas aux autres.C'est les échecs, ou je dois commencer à boire pour oublier qu'il y a plein d'idiots sur cette terre.
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... c est idiot de vouloir refaire le monde ou quoi que ce soit d' autre . Et puis en plus la destruction de l homme dés qu il est éjecté par maman .
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Bienvenue chez les EA (Echéphiles Anonymes)
LOL
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Hum C'est une drogue qui ne risque pas de nous faire crever avant l'age de plus les joueurs de chess ne sont pas tous des déprimé haissant le monde comme vous et moi il y a aussi ceux qui essai d'etre drole
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moi je suis dégouté d 'avoir découvert ce jeu que je trouve aliènant et une perte de temps énorme! sans blague je suis naze mais je joue je joue ... c'est pathétique donc ouais je prendrais garde de ne pas pousser les autres a y jouer . remarque ca m'a fait la meme chose avec la branlette. donc de toute facon je suis plutot fragile . mais si j'avais été drogué aux études ou serais jeu aujourd hui? je suis aigri mais j'ai foi dans l'avenir étudier sera ma prochaine passion !
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je suis plutôt d'accord avec Rubinstein mais est-il utile de le signaler?
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Les échecs rendent fou c'est bien connu et c'est pourquoi tout le monde devrait y jouer. Comme disait Maupassant :" Les fous m'attirent, eux seuls peuvent être heureux sur terre car pour eux la réalité n'existe plus." Si après ça on dit encore que Maupassant était pessimiste alors je comprends plus;
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ce poste est bien intéressant ma femme qui est psy me traite de drogué quant à ma passion pour les échecs. Je peux y passer des heures sans penser à autre chose. je suis comme possedé avec des pensées qui bouclent.. il est intéressant de rechercher si on est accroc des échecs uniquement ou si on a plutôt des comportements addictifs:sexe, alcool, tabac, autre jeu, jeu de fric, sport, boulot, études,.... Bref, les échecs ne seraient-ils pas notre anti-dépresseurs du moment?Sans doute, jouons-nous pour se valoriser face à des complexes, pour fuir le réel bien inquietant où l'on se sent nul, pour se nourrir de sensations fortes:adrenaline) comme d'anti-dépresseurs, gonfler notre ego à coup d'élo. nb: je fais pas la morale car je me reconnais bien
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échecs et littérature Pour les amateurs d'analyse de la folie dans les échecs, il y a aussi "La défense Loujine" de Nabokov. C'est très intéressant, surtout quand Nabokov décrit les pensées des joueurs durant la partie.Il y a quelque chose de très étonnant aussi, c'est l'incompréhension des autres personnes devant la passion du jeu, même Oscar Wilde a dit : "les joueurs d'échecs croient qu'ils font quelque chose de très important, alors qu'ils sont tout simplement en train de perdre leur temps."
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conseil aux junkies J'ai joué de 1984 à 1999 sans interruption,à des rythmes tres variables (50 parties en 88-89,6 en 95-96)avant d'arreter.J'ai repris en 2000-2001 pour une saison ou j'ai d'ailleurs tres bien joué.....les deux dernieres saisons je rends service à un club.Comme moi vous avez la competition dans le sang,et vous etes à un age ou vous ne pourrez plus vraiment progresser dans un sport ? Une solution intellectuellement satisfaisante (suite)
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conseil aux junkies et presentant un defi de progression enorme existe : le Bridge....A ce jeu on est junior jusqu'a 25 ans (lol) et on atteint sa plenitude vers 45 ans !En plus c'est sympa de jouer à deux,ca permet de sortir de l'autisme echiqueen et de son leitmotiv typiquement masculin :"Je vais pisser plus loin que toi".C'est tres primitif les echecs en fait !Alors on vous attend !
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Putain, ce temps que j'ai perdu aux échecs Il y a quelques années à chaque tournoi terminé, j'avais une grosse poussée de déprime pendant quelques heures. La crise de manque quoi!
Aujourd'hui, je n'ai plus ce symptome. En revanche, je reste boulimique. J'achète des livres d'échecs, plus pour les avoir et les feuilleter que pour les lire. Je suis abonné à EE et àEchecs et Mat et je chasse les infos sur le web.....
Mais çà ne m'a pas suffi. Je fais la même chose avec les langues. Ces deux dernières années, c'était l'Anglais,bouquins de grammaire, Vocables, nouvelles parutions.... Après avoir atteint un bon niveau, je récidiveavec l'Espagnol et j'attaque le Russe, sans parler de quelques mois de folies sur l'histoire, certaines années !! En fait, je me rends compte maintenant, j'aurai voulu être peintre, sculpteur, botaniste, écrivain, Jules César et jouer de la guitare électrique. J'aurai tant aimé aussi avoir un groupe de rock.
Allez! il n'est pas trop tard pour commencer la peinture et la guitare électrique et pour jouer à Jules César sur PC !! Putain, ce temps que je vais perdre encore....
Docteur, suis-je grave? Ne me cachez rien.
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to gambifou Marrant ça,moi apres un tournoi,j'avais plus envie de jouer pendant ou trois semaines....et je ne touchais litteralement plus un echiquier.Le record,une année ou j'ai joué 20 parties en 22 jours (Championnat de France Juniors plus Open du Championnat de France),je suis retourné au club qu'en octobre !
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to fredspecklin........ Si tu es le Frederic Specklin que je connais,tu etais un sacré original.(J'ai pas dit un orignal!).Je crois qu'on a joué une fois ensemble,au Championnat du Haut Rhin Junior en 88 ou 89...(semi rapide)à Soultz,ton fief si je me souviens bien......
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Pas la pire drogue. Les échecs sont évidemment addictifs. Comme le chocolat, le langage, le sexe, beaucoup de choses.. Il a souvent été mis en avant pour son côté aliénant et marginal dans la littérature ou au cinéma, tout comme le jeu d'argent (casinos, etc..) parce qu'il s'agit d'un des premiers jeu de compétition très développé en Europe, et la compétition est une motivation forte pour se polariser sur un je - si riche de surcroît.
Mais je pense qu'aujourd'hui, un jeu comme magic the gathering est beaucoup plus addictif que les échecs (ou le serait sans le coût d'achat des cartes qui est un gros frein à la dépendance). Il ajoute au côté stratégie/précision/beauté/compétition des échecs un aspect "collectioneur".
Et bien pire, certains jeux online tels qu'Everquest, sont, de par leur côté commercial et leur fonctionnement par abonnement, créés avec comme but inavoué de rendre les joueurs dépendants.. et cela marche très bien :). J'ai encore quelques amis que je n'ai plus revus depuis trois ans et qui font tous leurs repas et leurs journées de 14 à 30 heures chez eux devant l'écran... sauf une fois tous les 3 ou 4 mois pour voir la famille - et encore. Ils ont en général peu à peu quitté leur job, perdus leurs amis de vue, etc.. et ont l'impression de ne plus avoir besoin de contact extérieur puisque tous leurs amis - et leur famille parfois - sont "dans" le jeu. J'ai vécu ça en partie à vrai dire :/
Je pense donc qu'il faut accorder une certaine attention à l'importance que les échecs peuvent prendre dans nos vies, mais qu'au moins il s'agit d'un jeu qui, en contrepartie de la fascination parfois polarisatrice qu'il nous procure, a le mérite d'apporter beaucoup de satisfaction, de plaisir artistique, et de maintenir un minimum de vie sociale (non virtuelle), au moins par le fait que ce jeu est en lui-même un langage. Sans compter qu'il y a un certain prestige à être un joueur d'échecs.D.Antonini
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Pour en revenir au post initiale ; j'ai franchement aimé l'histoire de zweig : Un gars emprisoné qui trouve comme seule recours à la torture infligé par les nazis un putain de bouquin d'échec. ayant vécu personellement l'emprisonement je peux comprendre aisément l'aide que peux apporter un livre.En ce qui concerne "Le joueur" de Doestoevski, il parle là de toute autre chose. On ne peut comparer les échecs avec le casino quoique?Tant qu'à parler de chose dont je ne sais rien je vous conseille "Souvenir de la
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maison des morts qui est pour moi une des meilleurs biographies jamais écrite.
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to sigloxx Le phenomène Everquest est assez traumatisant,en effet.Un pote à moi a passé 80 jours COMPLETS à y jouer en l'espace de 14 mois ! En tenant compte du fait qu'il avait un boulot à temps plein c'est proprement hallucinant.Un point positif,il est allé aux USA rencontrer des gens de sa "guilde".Ce sont 7 des 16 jours qu'il a passé hors de chez lui et de son boulot durant ces 14 mois.De toute evidence,le parametre "famille virtuelle" est essentiel sur Everquest.... tant ce jeu est moche et repetitif.
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Everquest. Oui gabisubis.. Et encore 80x24heures en 14 mois c'est pas énorme (mais impressionant pour quelqu'un qui bosse à plein temps).. Le jeu existe depuis un petit peu plus de trois ans, et je connais par exemple un joueur qui a 4 persos avec plus de 100 jours joués (joués par lui uniquement), dont un à 200. (sans doute environ 500*24heures passées devant Everquest en trois ans, tous persos confondus...). Pour ma part j'ai fait 150 jours en deux ans sur mon personnage principal, et une cinquantaine en tout sur les autres. Content d'avoir arrêté :). Enc e qui concerne l'interêt du jeu, il a bien sûr d'autres atouts que le simple aspect "social" virtuel, sinon il ne rendrait pas aussi accro et n'aurait pas eu autant de succès. Il est extrêmement frustrant quand on obtient des personnages de haut niveau (ce qui signifie que l'on est déjà accro), tous les objectifs à y remplir demandant des heures d'attente (de "quête"), ce qui fait dire aux joueurs qui arrêtent ou souhaitent arrêter que le jeu n'a aucun interêt. Mais je connais peu de joueurs qui n'aient pas de très bons souvenirs de leurs débuts dans le jeu. Quand au côté moche si c'est en comparaison avec d'autres jeux du même style je ne suis pas d'accord, mais dans l'absolu, il est certain que cette "réalité" virtuelle n'a pas grand chose de convaincant ou d'artistique. Pour revenir au sujet de la littérature et de l'association qu'elle fait (sans doute à raison) entre jeu d'échecs et troubles d'ordre psychologiques, il ne faudrait pas oublier de mentionner La Défense Loujine de Nabokov, une merveille (le film est d'ailleurs assez bien adapté).D.Antonini
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Il est vraiment grand temps pour moi d'aller acheter la défense Loujine car d'après tout ce que j'ai lu et après avoir merdé un post sur le sujet :La défense Loujine" fait un grand trou dans ma culture littéraire.
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ref gabisubis je suis l'original, celui qui était au club de soultz. et je me rappelle bien de ce Championnat du Haut Rhin Junior en 88 ou 89... qui es tu? Collard ou Luga? mais lequel?
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après réflexion... je pense olivier collard. démasqué?
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après seconde réflexion.... tu es Luga car j'ai pas joué contre Collard à cet open mais Luga, d'ailleurs en 88 à Munster et en 89 à Soultz. 1/2 en 88 et 0-1 en 89. J'ai pensé d'abord à Collard car je le connaissais un peu mieux.
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Une petite présentation en 2 lignes d'Everquest pour les incultes ? Comme toute drogue, ça doit être très agréable non ? Au moins au début !
On ne 'ponctionne' pas descentaines d'heures comme ça à des gars 'évolués' comme vous sans qu'il y aitde bonnes raisons...
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ah ben y'a pire alors ? ;o) Sauf que la différence est latente : les échecs n'ont pas eu besoin de "support informatique" pour nous "piéger" !
Passer son temps devant un écran ou l'on jouera à un jeu "antisocial" est un écueuil que l'on peut éviter quand on a pas d'ordi (ben ouais easy non ? ;o)
Finalement ce qui me semble intéressant c'est justement qu'Everquest n'a aucun mérite de nous lobotomiser, c'est parfois le lot commun de tout joueur installé en face de son écran et totalement coupé du Monde, alors que les échecs c'est différent (déjà on est 2 ;op)
Plus insidieux qu'il n'y paraît finalement ce jeu, et en lisant la dernière phrase de Peres, ben j'me demande quand même s'il ne parle pas de notre jeu là...
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Ah ? Il paraît qu'on est deux ? Est-ce que le sieur Paolo pourrait ... ponctionner également un peu de son précieux temps social et le consacrer à son pauvre adversaire qui comme soeur Anne ne voit rien venir ? "Défie moi si t'es un homme !" qu'il disait ! Pffff ! Des promesses, des promesses !
Non mais ! Et py quoi ? Ce soit-disant gambiteur me joue une espèce de fausse Scandinave décolorée !
Si Emile voyait ça !!? J'en frémis d'avance ! ;o)))
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Je rappelle au sire Yvap que je suis au boulot moi, non mais ;o)
Et pis v'là comment on m'remercie de ménager les nouveaux arrivants (j'ai pas dis blet :oD), y'a plus aucun respect dans ce bas monde !!
Voilà que j'le défie avec les noirs par Galanterie (:o)), genre Monsieur tirez le premier et môssieur ne me jette même pas un gant à la figure ?
Quand à ma scandinave môssieur, sachez que j'ai eu l'idée de remplacer celui-ci par un sacrifice (incorrect bien sûr il va sans dire) et que j'ai voulu réfléchir un peu avant de jouer mon coup.
Mais bon, je voulais pas te cueillir à froid, l'Emile m'ayant demandé de te ménager quelque peu,Pfff rendez services aux potes...
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hum : celui-ci=gambit je dis juste ça parce que sa ménerve de pa écrir fransais !
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to fredspecklin Ben ma memoire jadis legendaire,c'est plus ce que c'était..... :o(J'étais sur d'avoir joué contre toi à Soultz !Donc je suis bien Olivier,ton premier demasquage fut le bon.....Mais pourquoi diantre je serais pas Marc Lotz ou Ludovico Accorso,hmmm ?Pourquoi t'as pensé à Philippe et moi ?:o)Tu joues toujours à Soultz ?
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ref gambifou "Après avoir atteint un bon niveau, je récidive avec l'Espagnol et j'attaque le Russe,"Avant d'attaquer le russe; il serait peut être préférable de parler avec eux avant.
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l'addiction... existe sûrement, mais en effet bien moins que dans la plupart des jeux "virtuels", ne serait-ce que les simples jeux video. Par ailleurs le phénomène existe dans bien d'autres domaines, collectionneurs, supporters, fans de... En définitive, j'aime bien le raisonnement de Michel Steiner dans EE de Février (je crois), quand il dit qu'en fait s'il y a des dingues dans ce milieu, c'est parce que les échecs sont une bonne thérapie: ils sont déjà malades avant. Le joueur de Zweig est un bon exemple: il est évident que sans le jeu, il se suicide tout de suite, et il n'y a pas d'histoire. Son problème, c'est le nazisme, le vertige de l'horreur, l'espèce humaine qui se dissout. A cet égard, la psy qui ne trouve pas mieux que de se foutre de la gueule de son mec me fait peur... mais je suppose que c'était une boutade.
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c'est vrai qu'engueuler ou faire la morale aux gens qui ont des problemes ca les aides pas a s'en sortir.
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z'en savez qq chose les gars ? ;o) M'enfin y'a quand même des "non malades" qui arrivent un jour aux échecs par hasard (!), et ces pauvres hères qui n'avaient aucune prédisposition pour le jeu, sont entrés dans un monde envahissant ou toute demi mesure est impossible : le jeu est jaloux, il ne supporte pas que l'on puisse le négliger...
Finalement ce phénomène est très marginal dans le sport et l'art, alors l'Emile il est ou ton carrefour ;o)???
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ref IDFX ma femme ne se fout pas de ma gueule! c'est sûr que d'être marié à un psy c'est parfois prise de tête ou prise de bec mais c'est souvent aussi particulièrement intéressant. Je reconnais simplement avoir pris conscience d'une certaine addiction aux échecs, chose qu'avant de la connaître je n'aurai pu formuler. Et j'ai cherché à comprendre l'origine de cette addiction au lieu de porter des oeillères.
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c'est une orthophoniste que tu aurais du epouser pour tes problemes de diction. :-)
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ref gabisubis salut Olivier!C'était facile de te reconnaître car à part toi ou luga, les autres joueurs me connaissaient peu pour me dire original ou trop bien pour me rappeler un championnat du haut-rhin comme un évenement significatif. Que deviens-tu? as-tu fini l'école de journaliste? es-tu devenu journaliste aux DNA? ;-)Moi, j'habite Paris depuis des années donc je ne joue plus à Soultz (clément richert y joue toujours). et je travaille à Air France, le pied pour voyager...
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Deux passages ont de quoi retenir l'attention (voir un peu plus haut):
la psy qui ne trouve pas mieux que de se foutre de la gueule de son mec me fait peur... mais je suppose que c'était une boutade.
c'est vrai qu'engueuler ou faire la morale aux gens qui ont des problemes ca les aides pas a s'en sortir.
Vous pouvez m'expliquer? Je fais la supposition que votre point de vue est "pitié pour tout ce qui souffre" :-) Eh oui, c'est ainsi, il y a d'un côté ceux qui veulent qu'on les considère comme des paumés, et de l'autre ceux qui exaucent ce désir!
Les vertus salutaires du rire ca existe aussi, et tellement d'autres choses méchantes... s'il vous plaît gardez la votre compassion.
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chacun sa methode et chacun ses convictions et je crois que tu es a coté de la plaque paulot
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conclusion personnelle de rien Je suis à côté de beaucoup de plaques
à chacun sa plaque
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to fredspecklin Ben non chuis pas journaliste....Je fais comme tout Alsacien moyen je travaille en Suisse,en esperant pouvoir en sortir un jour :o)
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